L’entraide ?

Une affaire d’émetteur (le demandeur) et de récepteur (le sociétaire) qui est à l’écoute et qui analyse les besoins.

L’émetteur étant bien identifié (un sociétaire), le récepteur le contacte, en avertit le chargé de mission " Entraide " de la section et peut éventuellement saisir l’avis du siège.

1) L’écoute du demandeur est capitale pour bien saisir ses réels besoins.
Cette écoute rassure la personne en difficulté.

2) La deuxième phase consiste à rencontrer le demandeur, le mieux étant chez celui-ci pour prendre en compte les pièces justificatives indispensables (papiers d’identité, livret de famille, photocopies de cartes et autres papiers importants, venant du service des impôts, de l’ONAC (Office national des anciens combattants et victimes de guerre), de l’assistante sociale, du corps médical…)

Il ressort alors la possibilité d’envisager une ou des actions en dressant un dossier où doivent figurer :
· les pièces justificatives d’identité et de métier (si encore en activité),
· le bilan des revenus,
· le bilan des charges,
· la demande manuscrite et signée expliquant le pourquoi de la demande d’aide,
· l’avis du président du comité sur cette demande,
· l’avis du président de section.

Ce dossier est transmis au siège parisien

Il importe que les échanges entre émetteur et récepteur soient le plus complets et les plus francs possibles, de manière à ce que le récepteur perçoive bien la réalité des situations exposées. Mise en confiance de l’émetteur, écoute et vigilance sont les devoirs du récepteur.

Du fait des nouveaux statuts de la SMLH, l’Entraide peut s’élargir à des actions de solidarité qui peuvent alors toucher des personnes proches des sociétaires (exemple du comité 16, en 2017-2018 : cas d’une jeune étudiante ne pouvant plus suivre ses études sans aide financière).